« Certaines villes ou agglomérations – notamment Paris et Grenoble – ont déjà affirmé leur volonté d’écarter les véhicules polluants ; elles doivent la confirmer et poursuivre leurs efforts pour développer des alternatives. D’autres villes/agglomérations semblent avoir de bonnes cartes en main pour assumer une sortie des véhicules polluants : par exemple à Strasbourg, où la perception de la dynamique à l’œuvre en matière de développement des alternatives à la voiture individuelle apparaît comme positive, ainsi qu’à Nantes. Nombre d’entre elles, enfin, doivent passer à la vitesse supérieure en matière de restrictions sur les véhicules polluants et de développement des alternatives. C’est le cas de Toulouse, Bordeaux, Lyon, et Lille, qui se sont engagées à mettre en place une zone à circulation restreinte permanente mais qui ne sont pas passées aux actes ; mais aussi de Marseille, Nice, Rennes et Montpellier, qui n’en sont même pas au stade de l’engagement.«