Développer une stratégie de restauration et gestion durable des écosystèmes naturels au lac Ahémé.

3 500 écoliers ont été sensibilisés à l’environnement.
20 femmes et 20 jeunes de chaque village concerné ont été formés à la production de plants et à la plantation.
148 000 palétuviers ont été repiqués sur 22 hectares, le long de 8 km de berges.
10 000 plants forestiers ont été replantés dans des forêts sacrées en déclin.
1 000 ménages ont été accompagnés pour l’adoption de foyers améliorés.

La population ainsi que les parties prenantes politiques, économiques, éducatives et traditionnelles prennent conscience de l’importance et de la vulnérabilité des ressources naturelles locales.

Les acteurs économiques participent activement au plan de restauration des mangroves et des forêts sacrées. Les savoirs culturels favorables à la biodiversité sont valorisés et intégrés. La gestion des ressources est partagée entre communautés, autorités locales et administration forestière.

Les pépinières affichent un bon taux de reprise, les îlots de mangrove sont restaurés et agrandis, et des corridors écologiques sont créés entre le lac et les forêts environnantes. La gouvernance collective devient progressivement autonome.

Subvention.